Menaka propose des produits naturels purs, extraits artisanalement à partir de plantes de Madagascar. Nous lançons notre gamme avec un coffret Routine Cheveux. Pour le découvrir en avant-première, rendez-vous sur notre campagne de crowdfunding !
Notre objectif est de vous proposer une gamme petite mais complète. Vous pourrez y trouver tout ce qu’il vous faut (et rien de plus !) pour vos soins beauté, bien-être et santé. Au-delà de cette gamme, j’ai plein d’idées pour vous aider à avancer vers une routine plus naturelle. Formations en ligne, hors ligne, boutique-atelier, rencontres, retraites à Madagascar …
L’aventure Menaka ne fait que commencer et je ne sais pas exactement où nous serons dans quelques années. Une entreprise, tout comme les plantes, ne s’arrête jamais de grandir et de se régénérer. La seule chose que je peux vous garantir c’est que, chaque jour, je construis la marque dans le respect des valeurs qui me portent. Si vous les partagez, n’hésitez pas à contribuer à la campagne, même avec 1€.
Manue
Nos valeurs
Production à Madagascar
Pour faire bouger les choses, il faut faire évoluer les modes de consommation mais aussi les modes de production.
Menaka, c’est également un terrain familial à Madagascar, sur lequel nous cultivons et produisons des matières premières naturelles. Plantes aromatiques, médicinales, oléagineuses : les possibilités sont nombreuses ! Madagascar est un pays à la nature riche et variée. Nous souhaitons la protéger et la valoriser à travers nos cultures.
Le terrain a de nombreux besoins et nous essayons d’y répondre au mieux en nous inspirant de la permaculture et de l’agroforesterie. Nous avons commencé à planter en synergie de l’ylang-ylang, du ravintsara, du moringa, du neem, de la calophylle, de l’hibiscus, du géranium, du gingembre, de la citronnelle, …
Une partie du terrain a subi la déforestation. Nous souhaitons y ramener la vie en utilisant l’éco-pâturage et les arbres à croissance rapide (moringa, neem, ravintsara, …). Le terrain contient également une magnifique forêt qui pourra, par la suite, accueillir les plantes nécessitant ombre et humidité.
Les arbres devraient donner leur première récolte au début de l’année 2022. En attendant que la nature avance à son rythme, nous travaillons avec des fournisseurs malgaches qui partagent nos valeurs de préservation de l’environnement.

Qui suis-je ?

Je m’appelle Manue et j’appartiens à la génération Y. Et comme beaucoup de personnes de ma génération, je souhaite expérimenter un nouveau mode de vie. Un mode de vie qui me permet d’avoir le meilleur impact possible sur l’environnement.
Quand découvert les huiles essentielles et les produits bruts extraits des plantes, j’ai réalisé que je pouvais fabriquer mes propres soins cosmétique et bien-être, afin de réduire mon empreinte écologique.
En remontant jusqu’à la graine, j’ai réalisé que la plupart de mes huiles essentielles venaient de Madagascar. Madagascar, le pays de mes origines, le pays de mon père. J’ai alors pris conscience que ces huiles nous permettaient à la fois de réduire nos déchets et d’avoir un impact positif à Madagascar. Comment ?
En plantant les arbres dont on extrait ces huiles, dans un pays qui souffre de sécheresse et de déforestation. En créant une activité économique, juste et durable, dans un pays qui souffre de pauvreté et d’inégalités sociales. En cultivant la biodiversité de ce pays qui est la plus riche au monde.
Menaka signifie huile en malgache. De manière imagée, on emploie ce mot pour désigner un extrait, une essence. Les malgaches utilisent l’expression « menaka ny aina », littéralement « l’huile de la vie » pour parler de leurs enfants. L’essence de leur vie.
Et Menaka, c’est pour moi un projet autour de la famille. C’est un retour aux sources sur la terre natale de mon père. C’est la reforestation d’un terrain familial. C’est mon oncle, mes parents, mes grands-parents, mes frères et sœur, qui contribuent à Menaka chacun à leur manière. C’est aussi toutes les autres huiles de ma vie, ces personnes avec qui je ne partage pas le même sang, mais qui me soutiennent chaque jour dans ce projet.
Pour en savoir plus sur mon parcours, vous pouvez lire mon interview sur le blog Pose Ta Dem’.